DOcteur Gecko chambre 187

"Et bé c'est prpore ici. Je vais aller faire un tour. Je vous remercies madame la directrice."

Gecko fermit la porte de sa chambre et sorti.

La cantiniere arriva devant la porte en hurlant le nom de la directrice,a pleins poumons, elle passa en trombe devant le docteur sans y faire attention et sontinua son chemin en criant de plus en plus fort....

"MATEMOISELLE LILEHAAAAANAAAAAA!?!?!?"

Gecko vit une folle passer devant lui en s'égosiant... *Mais où suis je tombé?!! Ai je bien fait de venir.* Il décida donc d'aller faire un tour dans l'asile.

Gipsy entra donc dans la chambre du docteur, accrochée à son bras.

Le sang et les larmes avaient tachées son beau kimono, et osn visage d ordinaire si pale etait balayé de trace rouge.

Orthense était calée au dessus de l'oreille de gipsy et elle ne bougeait plus, pétrifiée de peur après cet incident.

Gipsy regardait droit devant elle, les yeux encore innondés de larmes qu'elle retenait à grand peine.

Gecko rentrit dans sa chambre et il posa Gipsy sur son lit.

"Ne t'inquiètes pas, il ne te ferra plus aucun mal: Je te le jure." Il déposé un baiser sur la joue de Gipsy.

"Pourquoi t'a t'il fait ca?!!"

Gecko voulait savoir pourquoi cela, mais il voulait fortement défendre Gipsy et que cela ne se repasse plus jamais.

"il disait qu'il ne connaissait pas adelaide quiand je lui ai demandé et puis il a commencé à s ' énerver....apre sil m a prit par les bras et m a fait mal à l interieur."


Gipsy pleurait de nouveau surl'épaule du docteur, tachant les vêtement de cleui-ci. Ses petites mains aggripèrent le dit vêtement et elle finit par cesser de pleurer, comatant juste doucement... à la limite du sommeil.

Il posa sa main dans ses cheveux. "Ne t'inquiètes pas tout va bien maintenant. Il a compris qu'il ne fallait pas le faire."

Il leva la tête de Gipsy et lui déposa un baiser sur sa joueit tu que je peux t'embrasser maintenant? Crois tu que ton araignée me laissera faire?"

Gipsy soupira et posa la tête sur l'épaule du doctzeur en face d'elle.
Sans réfléchir elleprit son araignée dans ses mains et la posa par terre, la dite araignée fila dans un coin et s y installa tranquillement.

"je crois que oui"

Il passa sa main dans les cheveux de Gipsy et lui découvrit la nuque. Il l'embrassa tendrement dans le cou puis il vint sur ses lèvres. Il allongea Gipsy sur le lit et l'embrassa très calmement. Il descendit le long de son cou et l'embrassa. Il détachit la veste que portait Gispsy et il suivait le long de son corps jusqu'au bas du ventre. Puis il remonta jusqu'à ses lèvres, qu'il mordilla.

"Sa va comme ça?"

Gipsy n'avait pas réagit, réaction étrange.

"j ai froid."

Ses yeux restaient fixés au plafond et ses membres étaient prits de tremblements quasi permanent.

"excusez moi......"

Gecko ne savait pas quoi faire.

"TU veux que je te laisse?!!" Il lui mit un couverture pour la réchauffer et se leva. "Je suis désolé, je suis peut - être allé un peu loin. M'en veux tu?!"'

Gipsy leva le sbras vers lui sous la couverture et le serra contre elle fortement.

"désolée, désolée, désolée...."

Elle ne pleurait plus mais semblait chanter des excuses au docteur.
Un sombre essain apparut derriere elle constitué de nombreuses araignées s'approchant d'eux en arc de cercle.

Il lui caressa les cheveux quand gipsy venit se blottir contre lui.

"Ce n'est pas grave t'inquiètes pas, je ne sais pas ce qu'il m'a pris j'ai juste été un peu trop entreprenant. TU me plais tant, et je me sens si bien avec toi, c'est pour ça que..."

Il réfléchis et la regarda dans les yeux.

"QUe veux tu faire maintenant?"

Gipsy sembla réfléchir un instant puis son regard s'éclaira et un grand sourire apparut sur son visage.

"on va manger ?!! jemeurs de faim! S'il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit!"

Elle se suspendait à son bras comme une enfant.

Gecko prit Gipsy par la main et ils se dirigèrent tout deux vers la cantine.

"Je sios déspmé si je t'ai brusquer, fait peur ou même si je t''ai paru un peu entrêprenant... mais je t'aime, et j'ai envie de toi ... je veux que nos corps ne fassent qu'un mon amour. Mais cesses de bavardages, allons manger maintenant."

Ils rentrèrent dans le réfectoire tous les deux.